Zwangssoldaten
L'expression « Zwangssoldaten » (terme allemand signifiant « enrôlés de force ») désigne les Belges des Cantons de l'Est enrôlés de force dans l'armée régulière allemande — la Wehrmacht — durant la Seconde Guerre mondiale[1].
L'équivalent féminin existait également sous forme d'un service civique obligatoire (le RAD), suivi d'une période de travail au service des arsenaux ou de l'armée allemande (KHD) qui a concerné les jeunes-filles âgées de 18 ans[2].
Notes et références
    
-  (de) Christian Schmitz, « Trauma und Tabuthema in Ostbelgien », grenzecho.net,  (lire en ligne 
, consulté le ) - Anstett, Marlène., Gommées de l'histoire : des Françaises incorporées de force dans le Service du travail féminin du IIIe Reich, Strasbourg, Éditions du Signe, cop. 2015, 253 p. (ISBN 978-2-7468-3329-6 et 2746833298, OCLC 946655654, lire en ligne)
 
Annexes
    
    Bibliographie
    
- Christoph Brüll, « Les « enrôlés de force » dans la Wehrmacht : un symbole du passé mouvementé des Belges germanophones au XXe siècle », Guerres mondiales et Conflits contemporains, no 241 « Belgique : guerres en vue et vues de guerres », , p. 63-74 (DOI 10.3917/gmcc.241.0063)
 - (de) Peter M. Quadflieg, „Zwangssoldaten“ und „Ons Jongen“ : Eupen-Malmedy und Luxemburg als Rekrutierungsgebiet der deutschen Wehrmacht im Zweiten Weltkrieg, Aix-la-Chapelle, Shaker Verlag, coll. « Aachener Studien zur Wirtschafts- und Sozialgeschichte » (no 5), , 174 p. (ISBN 978-3-8322-7078-0)
 
Articles connexes
    
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