Une si jeune paix

Une si jeune paix est un film algérien réalisé par Jacques Charby et sorti en 1965.

Il s'agit du premier long-métrage de fiction de l'Algérie indépendante.

Jacques Charby, qui avait été condamné par contumace en 1961 à dix ans de prison pour aide au FLN, y raconte l'histoire de son fils adoptif Mustapha (l'enfant y tient son propre rôle), torturé et mutilé à l'âge de huit ans par les paras français[1].

Synopsis

Les enfants de deux orphelinats s'affrontent à l'occasion d'un match de football qui, le résultat n'étant pas accepté par les protagonistes, se poursuit sous la forme d'un jeu représentant la guerre entre l'OAS et le FLN.

Fiche technique

Distribution

  • Mustapha Belaïd
  • Fawzi Djeffel
  • Ali Larabi
  • Mustapha Zerouki

Distinctions

Sélection

Récompense

Notes et références

  1. Les enfants aussi in Le Monde du 14 décembre 2000
  2. TMDB
  3. « Films | Africultures : Une Si Jeune Paix (Al-Salam Al-Walid) », sur Africultures (consulté le )
  4. Guy Hennebelle, Les Cinémas africains en 1972, Société africaine d'édition, 1972, p. 141

Voir aussi

Bibliographie

  • Jacqueline Lajeunesse, Une si jeune paix, in Saison cinématographique 65, p. 233
  • Louis Seguin, Positif, no  72, , p. 28
  • Jeune Cinéma, no  34, , p. 17
  • Cinéma 69, no  137, , p. 30

Liens externes

  • icône décorative Portail du cinéma algérien
  • icône décorative Portail des années 1960
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons – Attribution – Partage à l’identique. Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.