The Boy : La Malédiction de Brahms

The Boy : La Malédiction de Brahms, ou Brahms : Le Garçon II au Québec (Brahms: The Boy II), est un film d'horreur américain écrit par Stacey Menear et réalisé par William Brent Bell, sorti en 2020. Il s'agit de la suite de The Boy (2016) du même réalisateur.

Synopsis

Recherchant un endroit sûr et calme pour leur fils Jude et ignorant la terrifiante histoire du Manoir Heelshire, un couple déménage dans une jolie maison sur le domaine dudit manoir. Alors qu'il explore les environs, le jeune garçon découvre dans les bois une poupée étrangement réaliste, appelée Brahms. Rapidement, il s'attache au jouet, qui, prétend-il, lui parle régulièrement. La mère, inquiète, voudra se débarrasser de la poupée, mais Brahms ne se laissera pas faire, il n'abandonnera pas son ami Jude.

Fiche technique

  • Titre original : Brahms: The Boy II
  • Titre français : The Boy : La Malédiction de Brahms
  • Titre québécois : Brahms : Le Garçon II
  • Réalisation : William Brent Bell
  • Scénario : Stacey Menear
  • Musique : Brett Detar (en)
  • Direction artistique : Laurin Kelsey
  • Décors : John Willett
  • Costumes : Aieisha Li
  • Photographie : Karl Walter Lindenlaub
  • Montage : Brian Berdan
  • Production : Matt Berenson, Roy Lee, Gary Lucchesi, Eric Reid, Tom Rosenberg, Jim Wedaa et Richard S. Wright
  • Production déléguée : Michael McKay, Jackie Shenoo et Robert Simonds
  • Sociétés de production : STXfilms et Lakeshore Entertainment
  • Sociétés de distribution : STX Entertainment (États-Unis), Metropolitan FilmExport, (France), Elevation Pictures (Canada), Entract Films (Québec)
  • Pays d'origine : Drapeau des États-Unis États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Genre : horreur
  • Durée : 86 minutes
  • Dates de sortie :

Distribution

 Source et légende : version française (VF) sur RS Doublage[1]  Source et légende : version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca[2]

Production

Le tournage débute en et se termine en mars[3].

Accueil

Critiques

Le site Allociné recense quatre critiques presse, pour une moyenne de 2,55[6].

Pour le journal Le Parisien, avec cette suite « la surprise n'est hélas plus au rendez-vous »[4].

Le magazine Télérama considère que « l'horreur est ici exploitée de manière platement littérale et totalement prévisible »[5].

Notes et références

Liens externes

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