Rue Eugène-Labiche
La rue Eugène-Labiche est une voie du 16e arrondissement de Paris, en France.
![]() 16e arrt Rue Eugène-Labiche 
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| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 16e | ||
| Quartier | Muette | ||
| Début | 27, boulevard Jules-Sandeau | ||
| Fin | 28, rue Octave-Feuillet | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 115 m | ||
| Largeur | 12 m | ||
| Historique | |||
| Création | 1894 | ||
| Dénomination | 1894 | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 3447 | ||
| DGI | 3419 | ||
|   Géolocalisation sur la carte : Paris 
 Géolocalisation sur la carte : 16e arrondissement de Paris 
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Situation et accès
    

La rue Eugène-Labiche est une voie publique située dans le 16e arrondissement de Paris. Elle débute au 27, boulevard Jules-Sandeau et se termine au 28, rue Octave-Feuillet[1].
Le quartier est desservi par la ligne C du RER à la gare de l'avenue Henri-Martin et par la ligne 9 à la station Rue de la Pompe.
Origine du nom
    

Elle porte le nom de l'auteur dramatique français Eugène Marin Labiche (1815-1888)[1].
Historique
    
Cette voie est ouverte sous sa dénomination actuelle par un arrêté du , à l'emplacement de l'ancien jardin fleuriste municipal de la Muette[1],[2]. Les rues voisines Edmond-About, Édouard-Fournier, Guy-de-Maupassant et Octave-Feuillet sont percées au même moment, dans le cadre du réaménagement du quartier[3].
Elle est classée dans la voirie parisienne par un décret du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
    
- Les nos 1 et 11 sont l'œuvre de l'architecte Charles Breffendille (1861-1913).
 - No 10 : en 1908 y habite le financier Henri Rochette, arrêté à son domicile pour escroquerie. Il se suicide en 1934[1],[4].
 
Références
    
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Les Éditions de minuit, septième édition, 1963, t. 1 (« A-K »), « Rue Eugène-Labiche », p. 488.
 - « Le jardin fleuriste de la Muette », www.histoires-de-paris.fr.
 - Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Les Éditions de minuit, septième édition, 1963, t. 1 (« A-K »), « Rue Édouard-Fournier », p. 469.
 - Jean-Noël Jeanneney, « L'affaire Rochette (1908-1914) », L'Histoire no 19, janvier 1980.
 


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