Prix Antony-Valabrègue
Le prix Antony-Valabrègue est un prix littéraire français, créé en 1924, décerné tous les deux ans par l'Académie française, récompensant un jeune poète à encourager. Ce prix n'est désormais plus attribué.
Lauréats
    
- 1926 : Pierre-Maurice Boyé, pour Poème d’Île de France
 - 1928 : Camille Fabry, pour Neige et soleil
 - 1930 : Lise Lamarre, pour Les chants de la Solitaire
 - 1932 : Louis Hennevé, pour Soupirs et demi-soupirs
 - 1934 : Jean Labbé, pour Béarn et dédicace
 - 1936 : Gilbert Getten, pour La lyre ardente
 - 1938 : Georges Michau, pour Les mille vers
 - 1942 : Marthe Ranson-Nepveu, pour Loin des sentiers battus
 - 1944 : J.-P. Burin, pour Visages de Stalag
 - 1948 : André Lo Celso, pour Éclaircies
 - 1950 : Edmond Moreau, pour Émaux et bérils
 - 1960 : Mélik Roubon, pour Le Chant rimé
 - 1962 : Nicole Virot, pour Poésie I
 - 1964 : François Vaucienne, pour Un rêve du jeune Jean Racine
 - 1965 : Jeanne Cartault d’Olive, pour Le Cheval d’Eleusis
 - 1966 : Charles Taulègne, pour Tu réclamais le soir
 - 1968 : André Rémy-Neris, pour Averses
 - 1970 : 
- Rose-Mikaëla Favre, pour Mes Refuges
 - Albert Flory, pour Éléments d’une poétique
 - Vital Heurtebize, pour Évangile selon ton âme
 
 - 1972 : Claire Florentin, pour L’amour n’existe pas
 - 1974 : Daniel Delort, pour L’Alphabet muet du doute
 - 1976 : 
- Jacques Colas, pour La Geste de Touky
 - Jacquette Reboul, pour La nuit scintille
 
 - 1980 : Aimé Bonnefin, pour Sonnets d’un autre temps
 - 1983 : 
- Irène Colomb-Jacob, pour Point d’orgue sur la neige
 - Jean-Claude Martin, pour Pavane pour Bénédicte
 
 
Notes et références
    
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