Philippe Bauer
Philippe Bauer, né le à Neuchâtel (originaire du même lieu), est une personnalité politique suisse, membre du parti libéral-radical. Il est député du canton de Neuchâtel au Conseil national de à , puis au Conseil des États.
| Philippe Bauer | |
  Portrait officiel, 2019.  | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Conseiller aux États | |
| En fonction depuis le | |
| Élection | 20 octobre 2019 | 
| Législature | 51e | 
| Groupe politique | Libéral-radical (RL) | 
| Commission | CAJ, CdG et CIP | 
| Prédécesseur | Raphaël Comte | 
| Successeur | Baptiste Hurni (PS) | 
| Conseiller national | |
| – | |
| Législature | 50e | 
| Groupe politique | Libéral-radical (RL) | 
| Commission | CAJ | 
| Successeur | Damien Cottier | 
| Député au Grand Conseil du canton de Neuchâtel | |
| – | |
| Législature | 2001-2005 à 2013-2017 | 
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Neuchâtel | 
| Nationalité | Suisse | 
| Parti politique | Parti libéral-radical | 
| Profession | Avocat | 
Biographie
    
Philippe Bauer naît le à Neuchâtel, dont il est aussi originaire[1]. Il est le fils d'Alain Bauer, juge au Tribunal cantonal et engagé au Parti libéral, et le petit-fils d'Eddy Bauer, historien et recteur de l'Université de Neuchâtel[2],[3],[4].
Il passe son enfance à Auvernier[4]. Il fait des études de droit à l'Université de Neuchâtel. Il y obtient sa licence en 1987. Il obtient deux ans plus tard son brevet d'avocat. Il fait son stage chez Denis Oswald[5].
Il a le grade de capitaine à l'armée[1]. Il commande de 1990 à 2003 la compagnie des grenadiers de montagne neuchâtelois[4].
Il est marié, père de trois enfants et habite à Neuchâtel[1].
Parcours politique
    
Il est membre du Grand Conseil du canton de Neuchâtel de 2001 à 2015. Il en assure la présidence de 2013 à 2014. Il est également membre du mouvement Écologie libérale[4].
Il est élu au Conseil national en 2015[6],[7]. Il y siège à la Commission des affaires juridiques (CAJ).
En 2019, il est élu au Conseil des États. Il y siège à la Commission de gestion (CdG), à la Commission des institutions politiques (CIP) et à nouveau à la CAJ, Il préside par ailleurs la sous-commission de langue française de la Commission de rédaction[1].
Il n'est pas réélu en 2023, perdant son siège au profit du socialiste Baptiste Hurni[8].
Notes et références
    
- « Biographie de Philippe Bauer », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
 - Georges de Montmollin, « Bauer, Alain », sur www.montmollin.ch (consulté le )
 - Georges de Montmollin, « Bauer, Eddy », sur www.montmollin.ch (consulté le )
 - Pierre-Emmanuel Buss, « Philippe Bauer, le hussard des bourgeois neuchâtelois », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
 - « BAUER, ZÜRCHER & HAENY, avocats Neuchâtel », sur avocatsneuchatel.ch (consulté le )
 - « Philippe Bauer », Parti libéral-radical (consulté le )
 - « Les élus neuchâtelois », RTN, (consulté le )
 - Keystone-ATS, « Neuchâtel: le PLR perd son siège aux États », (consulté le )
 
Liens externes
    
- Site officiel
 - Ressources relatives à la vie publique :
 - Profil Smartvote 2019, 2023
 
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