Nobody Knows the Trouble I've Seen
Nobody Knows the Trouble I've Seen[1] est un negro spiritual originaire de la période de l'esclavage, qui a été publié pour la première fois en 1867. Cette chanson a été reprise de nombreuses fois, notamment par Marian Anderson, Lena Horne, Louis Armstrong, Harry James, Paul Robeson, Sam Cooke[2].
Paroles traditionnelles
    
- Nobody knows the trouble I've been through
 - Nobody knows my sorrow
 - Nobody knows the trouble I've seen
 
Nobody knows my sorrow
- Glory hallelujah!
 
- Sometimes I'm up, sometimes I'm down
 - Oh, yes, Lord
 - Sometimes I'm almost to the ground
 - Oh, yes, Lord
 
- Although you see me going 'long so
 - Oh, yes, Lord
 - I have my trials here below
 - Oh, yes, Lord
 
- If you get there before I do
 - Oh, yes, Lord
 - ell all-a my friends I'm coming to Heaven!
 - Oh, yes, Lord
 
Variantes
    
- La chanson est apparue avec les paroles "Nobody Knows The Trouble I've Had" en 1867 dans les Chants des esclaves des États-unis (en)[3],[4].
 - Les Fisk Jubilee Singers (en) ont chanté une chanson avec un même chœur, mais avec une mélodie et des paroles différentes, intitulé "Nobody Knows the Trouble I See", d'abord publié en 1872.
 - La deuxième ligne ("Nobody knows my sorrow") ou la quatrième ligne est modifiée dans certaines versions par "Nobody knows but Jesus".
 
Notes et références
    
- « Spirituals - Nobody knows the trouble I see Marian Anderson, contralto Franz Rupp, piano », sur Bibliothèques spécialisées de la Ville de Paris (consulté le )
 - Paul Robeson Collection
 - « Slave Songs of the United States »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
 - Nobody Knows The Trouble I've Had
 
Liens externes
    
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