Chemin de la Glacière
Le chemin de la Glacière (en occitan : camin de la Glacièra) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.
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Chemin de la Glacière
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Le chemin de la Glacière et la « glacière ». | |
| Situation | |
|---|---|
| Coordonnées | 43° 38′ 40″ nord, 1° 25′ 08″ est |
| Pays | |
| Région | Occitanie |
| Département | Haute-Garonne |
| Métropole | Toulouse Métropole |
| Ville | Toulouse |
| Secteur(s) | 3 - Nord |
| Quartier(s) | Ginestous |
| Début | no 30 chemin de Fenouillet |
| Fin | En impasse |
| Morphologie | |
| Longueur | 550 m |
| Largeur | entre 10 et 13 m |
| Transports | |
| 110132 | |
| Odonymie | |
| Anciens noms | Chemin de l'Ancienne-Briqueterie (XIXe siècle-1936) |
| Nom actuel | 1936 |
| Nom occitan | Camin de la Glacièra |
| Histoire et patrimoine | |
| Création | avant le XXe siècle |
| Lieux d'intérêt | Château Le Blanc |
| Notice | |
| Archives | 315553225654 |
Situation et accès
Description
Le chemin de la Glacière est une voie publique. Il traverse le quartier de Ginestous, dans le secteur 3 - Nord.
Il correspond à une partie de l'ancien chemin vicinal no 3, qui allait de Blagnac à Launaguet. Il était prolongé à l'ouest par le chemin de Ginestous jusqu'au pont de Blagnac, et à l'est par le chemin de l'Église-de-Lalande et le chemin du Baron jusqu'à la route de Launaguet[1].
Voies rencontrées
Le chemin de la Glacière rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants :
- Chemin de Fenouillet
- Impasse Louis-de-Froidour (g)
- Rue du Pôle (g)
- Impasse de la Glacière - accès piéton
Odonymie
Le chemin tient son nom de la « glacière », c'est-à-dire une usine de fabrication de glace hydrique qui s'est installée en 1900 à proximité de l'écluse de Lalande (actuel no 37 impasse de la Glacière)[2].
Patrimoine et lieux d'intérêt
Institutions éducatives
- no 12 : E.S.A.T (Établissement et service d'aide par le travail) Château Blanc.
- no 14 : groupe scolaire Jean-Dieuzaide.
- no 17 : I.T.E.P. (Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique) Louis-Bives.
Maisons
- no 24 : ferme (deuxième moitié du XIXe siècle)[3].
Notes et références
- Salies 1989, vol. 1, p. 273.
- Salies 1989, vol. 1, p. 530.
- Notice no IA31111666, inventaire général du patrimoine culturel, région Occitanie/ville de Toulouse.
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse, 2 vol., éd. Milan, Toulouse, 1989 (ISBN 978-2-8672-6354-5).
- Jérôme Bonhôte, « L'industrialisation méconnue du canal latéral à la Garonne : l'exemple de l’écluse no 1 de Lalande à Toulouse (vers 1850-vers 1914) », Toulouse, une métropole méridionale : vingt siècles de vie urbaine, Presses universitaires du Midi, Toulouse, 2009 (lire en ligne) (ISBN 978-2-8107-0950-2).
Article connexe
Liens externes
- « Notices no 315553225654 », Au nom de la voie, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 20 septembre 2021 (consulté le ).
- Inventaire préliminaire de la ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse (consulté le ).
- Inventaire général du patrimoine culturel d'Occitanie, sur le site Ressources patrimoines - La médiathèque culturelle de la Région Occitanie (consulté le ).
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