Capitaine Sky et le Monde de demain

L'histoire se déroule dans une uchronie située en 1939. Polly Perkins, journaliste au Chronicle, cherche à élucider la disparition de plusieurs scientifiques de renom. La piste semble aboutir à un certain docteur Totenkopf (« tête de mort » en allemand).

Alors que des robots géants envoyés par Totenkopf attaquent New York, la police impuissante fait appel au Capitaine Sky.

• Titre français : Capitaine Sky et le Monde de demain
• Titre original : Sky Captain and the World of Tomorrow
• Réalisation et scénario : Kerry Conran
• Musique : Ed Shearmur
• Photographie : Eric Adkins
• Montage : Sabrina Plisco
• Production : Jon Avnet, Sadie Frost, Jude Law & Marsha Oglesby
• Sociétés de production : Paramount Pictures, Brooklyn Films II, Riff Raff Entertainment, Blue Flower Productions, Filmauro & Natural Nylon Entertainment
• Société de distribution : Paramount Pictures
• Pays : États-Unis, Royaume-Uni, Italie
• Langue : Anglais, Tibétain, Allemand
• Format : Couleur - DTS-ES - Dolby Digital EX - 35 mm - 1.85:1
• Genre : Aventures & Science-fiction
• Durée : 106 min
• Dates de sortie : États-Unis : 17 septembre 2004 ; France : 16 mars 2005

• Jude Law (VF : Jean-Pierre Michaël ; VQ : Sébastien Vantura) : Joseph "Joe" « Capitaine Sky » Sullivan
• Gwyneth Paltrow (VF : Hélène Bizot ; VQ : Natalie Hamel-Roy) : Polly Perkins
• Angelina Jolie (VF : Françoise Cadol ; VQ : Hélène Mondoux) : Capitaine Francesca « Franky » Cook
• Giovanni Ribisi (VF : Damien Witecka ; VQ : Hugolin Chevrette) : Dex Dearborn
• Michael Gambon (VF : Michel Ruhl ; VQ : Raymond Bouchard) : Rédac-chef Paley
• Bai Ling : Femme androïde
• Omid Djalili (VF : Michel Mella ; VQ : Sylvain Massé) : Kaji
• Trevor Baxter (VF : Yves Barsacq ; VQ : Claude Préfontaine) : Dr. Walter Jennings
• Julian Curry (VF : Georges Claisse) : Dr. Jorge Vargas
• Khan Bonfils (VF : Julien Kramer) : Creepy
• Laurence Olivier (VQ : Denis Bernard)  : Dr. Totenkopf (images extraites de films antérieurs)

• Capitaine Sky et le Monde de demain présente la particularité d'être entièrement conçu d'après un storyboard en 3D ; les acteurs ont tourné sur fond bleu, les machines et les décors générés par ordinateur ont été ajoutés en post-production. Le film combine en outre les esthétiques et modes narratifs propres au serial des années 1930, du film noir hollywoodien, du comic book de superhéros, et du jeu vidéo contemporain. Le film est un excellent exemple du style rétro-futuriste appelé Dieselpunk.