Avenue Léon-Blum (Antony)

L'avenue Léon-Blum est une voie de communication d'Antony dans les Hauts-de-Seine.

Avenue Léon-Blum
Image illustrative de l’article Avenue Léon-Blum (Antony)
Assistance Publique, avenue de la Croix-de-Berny. L'épouse du Président de la République René Coty lui rendit visite en 1954[1].
Situation
Coordonnées 48° 45′ 30″ nord, 2° 17′ 59″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Antony
Début Avenue de la Division-Leclerc à Châtenay-Malabry
Fin Carrefour de la Résistance-et-de-la-Déportation
Morphologie
Type Avenue
Histoire
Anciens noms Avenue de la Croix-de-Berny
Géolocalisation sur la carte : Paris et de la petite couronne
(Voir situation sur carte : Paris et de la petite couronne)
Avenue Léon-Blum
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Avenue Léon-Blum
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Avenue Léon-Blum

Situation et accès

Cette avenue commence son parcours au nord-est, dans l'axe de l'avenue Le Brun. Elle rencontre notamment l'allée des Peupliers, traverse le carrefour de l'avenue Gallieni et du boulevard Pierre-Brossolette. Elle forme ensuite une grande courbe vers l'ouest, longeant l'arboretum du parc Raymond-Sibille. Elle passe alors la rue des Marguerites et se termine au carrefour de la Résistance-et-de-la-Déportation, point de rencontre de la rue de Châtenay et de la rue Maurice-Labrousse, et où elle est prolongée par l'avenue du Bois-de-Verrières.

Origine du nom

Elle porte le nom de Léon Blum (1872-1950), homme d'État français, figure du socialisme.

Historique

Elle portait autrefois le nom d'avenue de la Croix-de-Berny[2],[3],[4], qui se rapporte au carrefour de la Croix de Berny.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

  • Nouveau quartier Jean-Zay, construit sur l'emplacement de l'ancienne résidence universitaire Jean-Zay[5], qui est reconstruite dans les années 2020[6].
  • Chapelle de la Sainte-Croix, ancienne chapelle de la résidence universitaire[7],[8], œuvre de l'architecte Eugène Beaudouin[9].
  • Parc Raymond-Sibille[10].
  • Accueil du Secours Catholique d’Antony[11].
  • Collège François-Furet. À cet emplacement, l’hôpital des enfants-assistés de l’assistance publique décida en 1911 de construite une annexe, la pouponnière d'Antony, destinée à accueillir des enfants de deux à quinze ans[12]. Elle devint par la suite la pouponnière Paul-Manchon[13], puis le collège Ferdinand-Buisson[14], et aujourd'hui le collège François-Furet.

Articles connexes

Notes et références

  • icône décorative Portail des Hauts-de-Seine
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