André Proudhon
André Proudhon, né le [1] à Sanvignes-les-Mines et mort le [1] à Épinac, est un résistant français, reconnu Juste parmi les nations[2] en 2004.
Après la Libération, il est inhumé[1] à Sanvignes-les-Mines, son village natal.
Le résistant
    
Netty et Mina Weistreich[2], alors enfants, sont prises en charge dès octobre 1942[2], par André Proudhon. Alors résistant en Saône-et-Loire et dans la Nièvre, André Proudhon fait passer la ligne de démarcation aux deux enfants[2] et les cache dans différents maquis de l'Ain et notamment à Génissiat.
Lors d'une action de sabotage[2] à Épinac, il est abattu en juillet 1944.
Hommages
    
Un monument lui rend hommage sur le lieu où il fut abattu, rue du 8-Mai à Épinac[1]. À Sanvignes-les-Mines, où il est né et où il est inhumé, une place porte son nom[3].
Références
    
- « André Proudhon - mort d'un Résistant », mairie d'Épinac (consulté le ).
 - « André Proudhon - Dossier n° 10 189 », comité français pour Yas Vashem (consulté le ).
 - « Place Proudhon », mairie de Sanvignes-les-Mines (consulté le ).
 
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