Éditions Wildproject
Les éditions Wildproject est une maison d’édition française, fondée en 2008, dont le siège est à Marseille.
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| Repères historiques | ||
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| Création | ||
| Fondée par | Baptiste Lanaspeze | |
| Fiche d’identité | ||
| Forme juridique | SARL unipersonnelle | |
| Statut | éditeur indépendant | |
| Siège social | Paris (de 2008 à 2012) puis Marseille (depuis 2012) | |
| Dirigée par | Baptiste Lanaspeze | |
| Spécialités | humanités environnementales, philosophie de l’écologie, écologie politique, littérature | |
| Collections | « Domaine sauvage »[1] (essais), « Tête nue »[2] (récits), « À partir de Marseille »[3] (non-fiction), « Le Monde qui vient »[4] (essais), « Petite bibliothèque d'écologie populaire »[5] (poche) | |
| Diffuseurs | Belles Lettres Diffusion Distribution | |
| Site web | wildproject.org | |
| Préfixe ISBN | 978-2-918490 978-2-38114  | 
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| Données financières | ||
| Chiffre d'affaires | 173 800 € (au ) | |
| Résultat net | 13 900 € (au ) | |
Présentation
    
Le propos initial des éditions Wildproject est d’introduire en France des ouvrages fondateurs de la pensée écologiste[6]. La collection « Domaine sauvage » vise à faire connaître la pensée écologique[7],[8].
À l’occasion des 10 ans de la maison d’édition, Wildproject sort un ouvrage réflexif conçu comme une « cartographie collective des pensées de l’écologie » intitulé Un sol commun. Lutter, habiter, penser[9].
Quelques publications notoires
    
- Printemps silencieux[10] (« Domaine sauvage »[1]) de Rachel Carson
 - La Mer autour de nous (« Domaine sauvage »[1]) de Rachel Carson
 - Éthique de la Terre (« Domaine sauvage »[1]) de John Baird Callicott
 - Topoguide du GR2013 (« À partir de Marseille »[3])
 - M.A.R.S. (« À partir de Marseille »[3]) de Julien Valnet
 - French déconnexion, au cœur des trafics (« À partir de Marseille »[3]) de Philippe Pujol Prix Albert-Londres, 2014.
 - Le Monde des êtres vivants (« Domaine sauvage »[1]) de Kinji Imanishi[11]
 - Gang du Kosmos (« Tête nue »[2]) de Kenneth White[12]
 - La Révolution de Paris. Sentier métropolitain (« Tête nue »[2]) de Paul-Hervé Lavessière Prix Haussmann, 2016[13].
 - Les Diplomates (« Domaine sauvage »[1]) de Baptiste Morizot Prix du livre de la Fondation de l'écologie politique, prix littéraire François Sommer du meilleur ouvrage sur la nature[14].
 - Contre-Histoire des Etats-Unis (« Le Monde qui vient »[4]) de Roxanne Dunbar-Ortiz
 - Un sol commun. Lutter, habiter, penser (« Le Monde qui vient »[4]), entretiens avec des penseurs de l'écologie, militants, éditeurs, journalistes, etc., coordonné par Marin Schaffner (ISBN 978-2-918490-78-4)
 
Liens externes
    
- Site officiel
 - Ressource relative aux organisations :
 - Les éditions Wildproject sur l'annuaire de l’Agence régionale du livre
 - Entretien avec le fondateur dans la revue en ligne Diacritik
 
Notes et références
    
- Notice de collection éditoriale sur le site de la BNF.
 - Notice de collection éditoriale sur le site de la BNF.
 - Notice de collection éditoriale sur le site de la BNF.
 - Notice de collection éditoriale sur le site de la BNF.
 - Notice de collection éditoriale sur le site de la BNF.
 -  Frédéric Keck - Le Monde des livres, 24 juin 2011 : 
« Les éditions Wildproject mènent un travail remarquable en traduisant les ouvrages fondamentaux de la pensée écologique. »
 -  Catherine Perrin - Terre sauvage, octobre 2012 : 
« L'ambition de Wildproject ? Faire connaître la pensée écologiste en France, un des moyens de répondre à la crise environnementale. Car une révolution tranquille a lieu actuellement, autour de l'écologie. »
 -  Weronika Zarachowicz - Télérama no 3098, du 30 mai au 5 juin 2009 : 
« Baptiste Lanaspeze monte sa maison d'édition, Wildproject, consacrée à l'écologie culturelle. Soit une pensée écologiste d'origine anglo-saxonne considérée comme une philosophie aux enjeux multiples, plutôt que comme un seul courant politique ou militant. »
 - Catherine Vincent, « Wildproject, dix ans d’“humanités écologiques” », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
 -  Le Monde des livres, 26 juin 2009 : 
« L'écologie peut se comprendre de plusieurs façons, et elle a une histoire qu'il est utile de redécouvrir. La lecture du grand classique de Rachel Carson (1907-1964), Printemps silencieux, est à cet égard instructive. Ce best-seller mondial, publié aux États-Unis en 1962, a contribué à la prise de conscience publique des dégâts provoqués par les sociétés industrielles. »
 - Martin Duru - Philosophie magazine : « Imanishi est considéré comme le pionnier oriental de l'écologie. À juste titre. »
 - Amaury Da Cunha - Le Monde des livres, 19 mars 2015.
 - « La Révolution de Paris, Prix Haussmann 2015 », sur Affiches parisiennes (consulté le )
 - Voir sur wildproject.org.
 
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